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42ème semi-marathon de Laval, une première !


 

 

 

 

Une grande première pour moi : courir un semi-marathon (sur route...) !

 

C'est sur le 42ème semi-marathon de Laval que mon attention s'est portée, et avec le recul et les récents évènements ( #coronavirus ), c'était plutôt une bonne idée !

 

Retour sur ma course.


Dans le cadre de ma préparation au Schneider Electric Marathon de Paris 2020, j'ai inclus un semi-marathon dans ma préparation (du traditionnel quoi !). Ne souhaitant pas traîner mes baskets à 2 reprises dans la capitale, je me suis orienté, très tôt, vers le 42ème semi-marathon de Laval. L'avenir me confirmera que j'ai fait le bon choix suite à l'annulation du semi de Paris.

Bien sûr, les copains des Bronzés font du trail : Doudou, Vigno et Lolo sont présents, en préparation du Marathon de Cheverny pour leur part.

 

Contexte...

Globalement, j'aborde cette course sans pression, ayant pour objectif de prendre du plaisir (je n'ai aucune expérience des courses sur route et j'ai franchement peur de trouver ça relou...), et de ne pas m'imposer d'allure fixe. Courir à la sensation.

J'ai pour habitude de partir beaucoup trop vite (en mode holeshot comme dirait l'autre), et j'ai appris à mes dépens à partir plus cool et monter doucement en puissance. Bon, sans surprise, ça a marché !

Le semi de Laval est un parcours vallonné (330m D+), et compte 3 portions distinctes (7 km alternant plats et faux plats montants, 9 km ponctués de 3 belles bosses et pour finir, 6 km de plat et faux plats descendants). Concrètement, même si le record de l'épreuve est d'1h07min10, il ne s'agit pas d'un semi "roulant" qui permet d'obtenir son meilleur temps sur ce type d'épreuve !

Fig. 1 - Profil du 42ème semi-marathon de Laval

 

Niveau temps (the weather ;-)), la meilleure définition que j'ai trouvé c'est : ... exécrable. Pluie battante, froid et un léger vent.

Résumé

J'ai plutôt bien vécu cette course. Le départ est donné dans une petite rue de Laval, et après quelques kilomètres le long de la Mayenne, on traverse Changé et on part dans les vallées de la Mayenne et de l'Ernée. Le parcours est changeant (urbain et rural) et permet de respirer de l'air frais (mais quelque peu humide ^^). Le finish est donné dans Laval, au bord de la Mayenne.

 

Volontairement, je n'avais pas les yeux rivés sur la montre, et une allure particulière en tête. Bien sûr, faire moins d'1h30min dans ces conditions, c'était l'objectif, mais ne me mettais aucune pression pour obtenir ce temps.

Contrat rempli puisque je réalise un temps de 1h29h53 pour ce premier semi.

 

Maintenant, on regarde devant, on poursuit la prépa pour le Marathon de Paris, et on verra où cela nous mène, et si le méchant virus s'interposera de nouveau entre les coureurs et les évènements festifs !

 

 

 

Les résultats :

 

-> Laurent termine le semi en 1h52min20, 112ème M1H

 

-> Doudou boucle le semi en 1h49min33, 107ème M0H (1ère course sérieuse depuis sa rupture des ligaments croisés)

 

-> Vincent avale le semi en 1h41min39, 112ème SH

 

-> Pour ma part, je finis le semi en 1h29min53, 38ème SH